La réforme du développement professionnel continu (DPC) va bientôt voir le jour. Cette obligation de formation, portée sur les fonts baptismaux par la loi HPST, a connu une destinée contrariée, notamment par un manque chronique de financement. Côté pharmaciens, l’ambiance ne semble pas non plus au beau fixe. Appelés à réagir à la phrase suivante : « Le DPC est satisfaisant à tout point de vue », vous êtes une large majorité – plus de 60 % – à être en désaccord. Les raisons sont multiples, mais on peut citer, par exemple, des procédures d’inscription considérées comme complexes par une grande majorité des répondants ainsi qu’un système un peu trop chronophage au comptoir. L’offre de formation semble en revanche plutôt appréciée par la profession, même si elle est considérée comme peu adaptée pour les salariés. Voir tous les résultats de l’enquête dans notre article « DPC, on efface tout... », paru dans Le Pharmacien de France n° 1269 (avril 2015).
DPC : faut-il tout changer ?
Source : sondage administré en ligne sur 236 répondants entre le 20/03/15 et le 24/03/15.